“Pour les apprentissages, j’ai fait de plein de manières. Plus jeune, j’ai fait du très classique, ma mère récupérait des bouquins scolaires de ses amis et on suivait le fil scolaire. Après, on a fait des cours par correspondance, (…) Petit à petit j’ai appris tout seul, je trouvais des projets tout seul, je me trouvais des devoirs tout seul. (…) Quand tu as fait toute ta scolarité en IEF comme ça, tu n’as aucune difficulté, tu ne te demandes même pas comment tu apprends, juste tu imprimes. (…) Tu apprends à apprendre seul, sans qu’on te pousse systématiquement à le faire. Il y a un culte du savoir en IEF. (…) Pour une raison x ou y, on étale notre science, c’est juste motivant, et on est très encouragé à apprendre. C’est très naturel “hé je sais telle chose !” “wahou ! trop cool !”, en IEF, apprendre, c’est cool. Par exemple, dans mon groupe d’amis, il y avait une espèce d’élitisme de l’anglais, on était ensemble et on se parlait en anglais entre nous. Ça m’a motivé pour parler correctement. (…) Chez les non-sco, il y a une certaine culture du être soi et être différent des gens. (…) L’IEF, c’est ce qu’il y a de mieux pour le développement personnel. (…) En IEF, t’es encouragé à être spécial. C’est le mot d’ordre” (Reaster, 19 ans).
Laisser un commentaire